Joyce Kortlandt
Secrétaire technique
Alors que de nouvelles mines sont explorées en Afrique de l’Ouest, l’exploitation d’autres mines touche à sa fin. Cette situation s’accompagne de nombreux défis et opportunités. Les plans de fermeture et de réhabilitation des mines devraient faire partie des études d’impact environnemental et social afin d’aborder la dernière phase dès le début. Le CNEE a organisé une formation au Burkina Faso sur l’évaluation de l’impact environnemental et social (EIES) pour la fermeture des mines.
L’atelier de quatre jours a réuni les ministères des mines, de l’économie et des finances, et de l’environnement de sept pays de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) : Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Guinée, Guinée-Bissau, Niger et Togo.
L’une des conclusions des participants à l’atelier est que, outre les ministères des mines, de l’environnement et des finances, un plus grand nombre d’acteurs doivent être impliqués dans la fermeture et la réhabilitation des mines. Il s’agit par exemple d’autres ministères sectoriels, de leurs services décentralisés et des autorités locales.